Friday, September 24, 2004
Un nouvel espace fumeur est né !
Depuis son ouverture il y a quelques années déjà, le centre de culture ABC à la Chaux-de-Fonds fonctionnait (plutôt bien) de manière conventionelle: On ne fumait ni au théâtre ni au cinéma, mais on toraillait un MAX au café. Et c'était pas mal comme ça, de mon point de vue. Les amateurs de fumée pouvaient squatter le café du matin au soir, ceux qui n'aimaient pas la fumée pouvaient rester un moment et s'en aller, ceux qui arrivaient sur le coup des 23h hésitaient parfois à pénétrer dans l'aquarium de fumée du café et avaient le choix de leurs prises de risques.
Tout ce beau monde pouvait aller au ciné ou au théâtre, soit dans l'espace non-fumeur du centre, même les asmathiques et les anciens fumeurs (c'est les plus pénibles, c'est normal, ils savent l'horreur qu'ils ont quittés, et la peine qu'ils ont eus à le faire... je sais de quoi je parle, j'en suis !!!) et sortir qui fumer, qui boire un pot à l'entracte ou à la sortie.
Mais depuis hier soir, tout à changé !
Maintenant c'est le café qui est non-fumeur ou plutôt qui est fréquenté (mais pas très) par des non-fumeurs et plusieurs personnes sur scène ou dans la salle fument dans le théâtre.
Les asmathiques et les non-fumeurs doivent donc se cultiver au bistrot ce qui n'est pas simple...
Et la Ventilo grand âne me direz-vous !!!! C'est vrai que le centre s'est équipé récemment d'une magnifique nouvelle ventilation pour son théâtre et c'est peut-être pourquoi les spectateurs pensent qu'on peut fumer ici maintenant...
Avant pour aérer la chaleur des lampes et du public compact le centre ouvrait ses fenêtres et, face à la foule, c'était parfois un peu "juste".
Mais aujourd'hui, sa nouvelle ventilo est éteinte pendant les concerts !
"Parce qu'elle fait un bruit d'avion" ...
Jim
Tout ce beau monde pouvait aller au ciné ou au théâtre, soit dans l'espace non-fumeur du centre, même les asmathiques et les anciens fumeurs (c'est les plus pénibles, c'est normal, ils savent l'horreur qu'ils ont quittés, et la peine qu'ils ont eus à le faire... je sais de quoi je parle, j'en suis !!!) et sortir qui fumer, qui boire un pot à l'entracte ou à la sortie.
Mais depuis hier soir, tout à changé !
Maintenant c'est le café qui est non-fumeur ou plutôt qui est fréquenté (mais pas très) par des non-fumeurs et plusieurs personnes sur scène ou dans la salle fument dans le théâtre.
Les asmathiques et les non-fumeurs doivent donc se cultiver au bistrot ce qui n'est pas simple...
Et la Ventilo grand âne me direz-vous !!!! C'est vrai que le centre s'est équipé récemment d'une magnifique nouvelle ventilation pour son théâtre et c'est peut-être pourquoi les spectateurs pensent qu'on peut fumer ici maintenant...
Avant pour aérer la chaleur des lampes et du public compact le centre ouvrait ses fenêtres et, face à la foule, c'était parfois un peu "juste".
Mais aujourd'hui, sa nouvelle ventilo est éteinte pendant les concerts !
"Parce qu'elle fait un bruit d'avion" ...

Jim
A la Hussarde !
Transe Télécom
Que fait-on dans un laboratoire ? On expérimente. France Télécom, dont Monsieur Sarkosy vient d'annoncer qu'il vendait environ 10% du capital, ce qui fait de l'Etat un actionnaire minoritaire, est depuis 1996 (date à lauquelle le ministre de l'époque Monsieur Fillon a supprimé le monopole) un laboratoire.
C'est là qu'est testée, grandeur nature , la privatisation du service public. Une fois l'expérience réussie, il ne restera plus qu'à la répéter pour les dernières entreprises publiques encore debout, La Poste, EDF-GDF (Electricité de France - Gaz de France), la Snecma (Qui produit des moteurs d'avion pour Airbus et pour les lanceurs européen ariane), puis à s'attaquer aux services publics eux-même, la Sécu (rité sociale), l'Education Nationale, etc.
Le seul problème c'est que ce laboratoire était plein de gens: pas moins de 148'000 personnes travaillaient à France Télécom lorsqu'elle était encore une administration. Ce sont eux qui ont joué les cobayes. Si, vues par les ministères, les huit années de privatisation ont abouti à une réussite (le chiffre d'affaires s'est, comme on dit, "redressé"), vues par les salariés, c'est une autre histoire.
Ils étaient des agents, les voilà devenus des employés.
Ils travaillaient au service des usagers, les voilà sommés de pressurer le client.
Ils oeuvraient pour l'intérêt général, les voilà dévolus à la cause de la rentabilité financière. Ce changement de statut aurait dû leur plaire, à en croire les chantres du privé: plus créatif, plus efficaces, payés au mérite, ils devraient s'éclater.
Or c'est tout le contraire, comme vient de le montrer une solide enquête du journaliste Dominique Decèze (La Machine à Broyer; Jean-Claude Gawsewitch éditeur 190 p. - 16,50€).
La privatisation s'est passée dans la douleur. Comme dit l'un d'eux:
"On a commencé à briser les résistants, à exclure les rares trublions, à criminaliser les syndicats (…) On a en même temps désorganisé les repères, déstabilisé les structures, terrorisé par un management individuel, contrôlé la performance en réduisant l'autonomie et l'initiative, formaté les cadres en les transformant en "coach", créé des chartes pour mieux encadrer les comportements, forcé le personnel à se vendre à l'intérieur de l'entreprise. (…) On a introduit la délation, la dénonciation". Et tout cela a rendu les employés, au sens propre du terme, malades. Décèze, qui a rassemblé toutes les enquêtes médicales et les données disponibles, le prouve, chiffres en main:
Cette privatisation a créé un problème de santé publique d'échelle nationale. Explosion du nombre des jours d'arrêt-maladie. Malaises, troubles digestifs, dépressions. Une douzaine de suicides. Surconsommation de médicaments.
Les PDG successifs, Messieurs Bon et Breton, ont menés l'affaire à la hussarde, réussissant à écoeurer, casser, virer près de 40'000 employés. Et à bouger les autres comme des pions: 53'000 ont dû changer de poste et de métier.
Tiré d'un article du Canard Enchaîné du Mercredi 8 mars 2004 Rubrique PLOUF de Jean-Luc Porquet.
Que le Canard soit ici remercié du travail fantastique qu'il effectue, chaque mercredi pour nous dessiller les yeux.
Livre cité : Dominique Decèze "La Machine à Broyer" Jean-Claude Gawsewitch éditeur 190 p. - 16,50€ parution 2 septembre 04
Jim.
Que fait-on dans un laboratoire ? On expérimente. France Télécom, dont Monsieur Sarkosy vient d'annoncer qu'il vendait environ 10% du capital, ce qui fait de l'Etat un actionnaire minoritaire, est depuis 1996 (date à lauquelle le ministre de l'époque Monsieur Fillon a supprimé le monopole) un laboratoire.
C'est là qu'est testée, grandeur nature , la privatisation du service public. Une fois l'expérience réussie, il ne restera plus qu'à la répéter pour les dernières entreprises publiques encore debout, La Poste, EDF-GDF (Electricité de France - Gaz de France), la Snecma (Qui produit des moteurs d'avion pour Airbus et pour les lanceurs européen ariane), puis à s'attaquer aux services publics eux-même, la Sécu (rité sociale), l'Education Nationale, etc.
Le seul problème c'est que ce laboratoire était plein de gens: pas moins de 148'000 personnes travaillaient à France Télécom lorsqu'elle était encore une administration. Ce sont eux qui ont joué les cobayes. Si, vues par les ministères, les huit années de privatisation ont abouti à une réussite (le chiffre d'affaires s'est, comme on dit, "redressé"), vues par les salariés, c'est une autre histoire.
Ils étaient des agents, les voilà devenus des employés.
Ils travaillaient au service des usagers, les voilà sommés de pressurer le client.
Ils oeuvraient pour l'intérêt général, les voilà dévolus à la cause de la rentabilité financière. Ce changement de statut aurait dû leur plaire, à en croire les chantres du privé: plus créatif, plus efficaces, payés au mérite, ils devraient s'éclater.
Or c'est tout le contraire, comme vient de le montrer une solide enquête du journaliste Dominique Decèze (La Machine à Broyer; Jean-Claude Gawsewitch éditeur 190 p. - 16,50€).
La privatisation s'est passée dans la douleur. Comme dit l'un d'eux:
"On a commencé à briser les résistants, à exclure les rares trublions, à criminaliser les syndicats (…) On a en même temps désorganisé les repères, déstabilisé les structures, terrorisé par un management individuel, contrôlé la performance en réduisant l'autonomie et l'initiative, formaté les cadres en les transformant en "coach", créé des chartes pour mieux encadrer les comportements, forcé le personnel à se vendre à l'intérieur de l'entreprise. (…) On a introduit la délation, la dénonciation". Et tout cela a rendu les employés, au sens propre du terme, malades. Décèze, qui a rassemblé toutes les enquêtes médicales et les données disponibles, le prouve, chiffres en main:
Cette privatisation a créé un problème de santé publique d'échelle nationale. Explosion du nombre des jours d'arrêt-maladie. Malaises, troubles digestifs, dépressions. Une douzaine de suicides. Surconsommation de médicaments.
Les PDG successifs, Messieurs Bon et Breton, ont menés l'affaire à la hussarde, réussissant à écoeurer, casser, virer près de 40'000 employés. Et à bouger les autres comme des pions: 53'000 ont dû changer de poste et de métier.
Tiré d'un article du Canard Enchaîné du Mercredi 8 mars 2004 Rubrique PLOUF de Jean-Luc Porquet.
Que le Canard soit ici remercié du travail fantastique qu'il effectue, chaque mercredi pour nous dessiller les yeux.
Livre cité : Dominique Decèze "La Machine à Broyer" Jean-Claude Gawsewitch éditeur 190 p. - 16,50€ parution 2 septembre 04
Jim.
Wednesday, September 15, 2004
FORGES IN PROJECT Pictures from the past...

The Beauty of the Black and White

The FORGES PROJECT is on Air...

Oh la belle photo...

Back to the 50Th...

Welcome in a new land

The Future is coming...

Oh my past...

Once upon a time...

Special thanks to Julien Moeschler and the Bibliothèque of La Chaux-de-Fonds AudioVisual Department (DAV)
Best regards
Jim
The Bill Plimpton Festival

For youre eyes only !!!
The BILL PLYMPTON FESTIVAL BETWEEN TEX AVERY AND THE US UNDERGROUND CULTURE
CYCLE BILL PLYMPTON en collaboration avec Images’04
MONDO PLYMPTON
vendredi 1 et samedi 2 octobre à 18h30
I MARRIED A STRANGE PERSON
vendredi 1 octobre à 20h45
MUTANT ALIENS
samedi 2 octobre à 20h45
Au Centre de Culture ABC - 2300 La Chaux-de-Fonds - Suisse / Switzerland
Le cinéma d’animation, et le dessin animé en particulier, se prête avec une souplesse particulière aux jeux des associations et à l’expression des débordements. Deux traditions se conjuguent chez Bill Plympton : le délire de Tex Avery et, moins connu chez nous, certaines expressions graphiques de la contre-culture américaine, provocatrices, excessives, anti-puritaines.
Le corps y est soumis à rude épreuve, même si, passé la crise, il lui arrive en général de se reconstituer… Gonflements, démembrements, éclatements, écrasements s’accompagnent de toute une panoplie joyeusement panique de bruits colorés et de jaillissements tonitruants. L’accouplement – on aura compris que le cinéma de Bill Plympton ne s’adresse pas aux adorateurs de Bambi et des Pokémons – prend une ampleur cosmique.
Mais le sexe y apparaît moins comme une activité harmonieuse que sous la forme d’une agression généralisée ou d’une impulsion première. Ce n’est pas un hasard si L’Age d’or de Bunuel est cité par le cinéaste comme un film qui l’a marqué. Cette filiation surréaliste passe aussi par l’œuvre admirée d’un dessinateur comme Topor, par exemple, et, plus singulièrement, par l’invention même de Plympton : rapprochements fortuits, développements absurdes, organicité générale, qui s’alimentent aux sources du quotidien, de la rêverie éveillée, du jeu de mots, pour en développer les incongruités, les violences et les merveilles.
Plus d'informations...
Best Regards
Jim
Friday, September 03, 2004
Libérons PARIS - Free PARIS NOW !
Paris outragé ! Paris pollué ! Paris asphyxié ! Mais Paris toujours pas libéré de la bagnole !
L'adaptation de la ville à la voiture chère au modernisme triomphant de l'après-guerre a abouti à un envahissement de l'espace urbain par les véhicules à moteur. Les rues sont réquisitionnées pour le stationnement et la circulation des voitures, les trottoirs abandonnés aux scooters et autres motos. L'atmosphère saturée. C'est donc à une véritable résistance à cette invasion que nous appelons aujourd'hui !
Nous, vélorutionnaires, avons décidé de faire barrage à l'idéologie automobile, à sa brutalité et à son absurdité, et de défendre une autre conception de la ville et des relations sociales.
Nous lutterons contre la propagande pro-bagnole qui colonise nos espaces mentaux.
Nous, voulons nous mobiliser pour rendre au vélo, à la marche à pied, la place et le respect qu'ils méritent. Pouvoir prendre des transports en communs qui ne sont pas coincés dans les embouteillages automobiles.
La libération temporaire de certains quais de Seine, cet été, a montré la voie de la reconquête. Il faut continuer dans ce sens et rendre Paris à toutes celles et ceux qui y vivent et y travaillent, pas seulement les automobilistes.
Nous exigeons donc la mise en place d'un plan à moyen terme de libération totale des quais de Seine, de liaisons longues paris-banlieue, de contre-sens cyclables, la création d'axes vélos-piétons (Réseau vert réservé aux piétons et cyclistes) (voir encadré). Nous appelons toutes celles et tous ceux qui refuse l'aliénation motorisée à nous rejoindre le premier samedi de chaque mois à 14h place du Châtelet à Paris.
A l'appel de La Vélorution, Réseau action climat, Chiche Paname, Antibagnole.com, Les Amis de la terre Paris, Vélo XV et VII
Samedi 4 septembre 14h Place du Châtelet
Pour libérer Paris de l'invasion automobile !
Action anti-bagnole puis cortège vélo roller
Nos doléances
Nous, sans-moteurs, habitants et habitantes des villes, usagers de transports propres et peu consommateurs d'énergie, hommes et femmes soucieux de notre qualité de vie et de celle des générations futures avons décidé de faire entendre nos doléances :
- Taxation des véhicules à moteur en fonction de leurs émissions polluantes,
- Interdiction de la publicité en faveur des véhicules à moteur,
- Encouragement et éducation à l'utilisation des transports propres,
- Gratuité des transports en commun lors des pics de pollution.
- Extension et renforcement du réseau de pistes et d'aménagements cyclables et piétonniers,
- Adaptation du code de la route aux spécificités des déplacements sans moteur,
- Autorisation permanente et gratuite de transporter les vélos dans tous les trains,
- Amélioration de l'accessibilité des trains,
- Fin de la tolérance envers les véhicules à moteur ne respectant pas les équipements protégeant les circulations douces
Qu'est-ce que la Vélorution ?
Il y a dix ans, des jeunes étaient organisées tous les premiers samedis du mois à Bastille des manifestations à vélo. Quatre ans de manifestations - jusqu'à 6 000 cyclistes - qui incitèrent Jean Tiberi à développer les pistes cyclables et favorisèrent la prise de conscience par les Parisien-ne-s des nuisances du tout-voiture en ville. Dix ans plus tard, les manifestations ont été relancées en septembre dernier pour exprimer la déception face à la timidité de la nouvelle municipalité en la matière et la colère devant le double discours de l'Etat. Et plus radicalement, le refus de l'automobile, symbole d'une société de fuite dans le stress, la consommation, la production, le profit, qui saccagent nos vies, nos villes et notre planète. La vélorution n'est pas une association de plus mais une dynamique, un mouvement social, un événement. Ce réseau informel est en lien avec les associations pour d'autres transports à Paris : Réseau Vert, MDB, Le RATP, le Réseau Action Climat, Amis de la Terre Paris, Greenpeace Paris...
contact@velorution.info / www.velorution.info/ Contact presse Anthony 06 63 52 81 03 / Stéphane 06 79 71 79 34
Vélo XV et VII - Vélorution - Mieux se déplacer à Bicyclette (MDB)
Paris plage est fini, continuer dans ce sens !
10 juillet 1994, 30 octobre 1994 : premières ouvertures aux cyclistes et piétons des voies sur berges le dimanche
aoüt 1995 : ouverture régulière tous les dimanches sauf en hiver
juillet-août 2001 : ouverture tous les jours pendant un mois
juillet-août 2002 : "Paris-Plage"
novembre 2003 : extension aux dimanches d'hiver...
JUILLET 2004 : POUR LE 10e ANNIVERSAIRE DE LA PREMIERE PHASE DE
LA RECONQUETE DES VOIES SUR BERGES, IL FAUT ALLER PLUS LOIN.
Les nombreux parisiens, franciliens et touristes qui, le dimanche toute l'année ou l'été pendant Paris-Plage, fréquentent les berges de la Seine, se demandent toujours comment on peut laisser des automobiles rouler à cet endroit si exceptionnel, reconnu par l'UNESCO comme faisant partie du patrimoine mondial de l'Humanité. La promenade qui devrait joindre entre eux une grande partie des principaux monuments et musées de Paris est à certains endroits une véritable autoroute, et les piétons qui devraient en être les rois ne peuvent accéder à la berge basse. Les bretelles d'entrée et de sortie de la voie sur berges rendent également inconfortable le cheminement sur les berges hautes.
L'idée qu'il faudra bien un jour rendre les berges à des utilisateurs plus naturels que des automobilistes pressés fait son chemin. Il est temps d'en étudier et d'en tester la faisabilité.
Sur la rive droite, la voie Georges Pompidou (où a lieu Paris-Plage), d'où l'on a une vue superbe sur certains des plus magnifiques monuments de Paris, serait la plus intéressante mais aussi la plus difficile à ôter du système de circulation de Paris. Il est donc temps de lancer des études approfondies pour envisager les détournements de trafic permettant de fermer cette voie aux automobiles.
Sur la rive gauche, la voie sur berge n'est pas indispensable à la circulation, car elle ne sert que de doublure à un quai large. Il n'y a qu'entre le pont Royal et le pont de la Concorde que le quai haut qu'elle double est relativement étroit
VELO XVETVII, VELORUTION et le MDB PROPOSENT A LA VILLE DE PARIS D'EXPERIMENTER EN VRAIE GRANDEUR, LA FERMETURE AUX VOITURES DE LA VOIE SUR BERGES ENTRE LE PONT DES INVALIDES ET LE QUAI BRANLY, ET UNE UTILISATION PARTAGEE (UNE FILE POUR LES VOITURES COTE RER, LE RESTE COTE SEINE POUR PIETONS ET CYCLISTES) ENTRE LE PONT ROYAL ET LE PONT DES INVALIDES.
Cette mesure permettrait aussi de fermer à la circulation une bretelle d'entrée et deux bretelles de sortie de la voie sur berges, rendant plus facile le cheminement des piétons sur la magnifique promenade située sur la voûte de la ligne C du RER et la circulation des cyclistes sur la berge haute.
LA MISE EN PLACE D'UNE NOUVELLE ORGANISATION DE LA CIRCULATION SUR LES QUAIS POURRAIT SE FAIRE AU PLUS TARD EN MEME TEMPS QUE L'INAUGURATION, PREVUE POUR 2006, DU MUSEE DU QUAI BRANLY.
... 2006
Jacques Chirac et Bertrand Delanoë inaugurent le musée du quai Branly et le nouvel aménagement des quais de la rive gauche de la Seine.
Contact : Abel Guggenheim président de Vélo XVetVII
01 40 60 76 74 / 06 82 43 06 73
L'adaptation de la ville à la voiture chère au modernisme triomphant de l'après-guerre a abouti à un envahissement de l'espace urbain par les véhicules à moteur. Les rues sont réquisitionnées pour le stationnement et la circulation des voitures, les trottoirs abandonnés aux scooters et autres motos. L'atmosphère saturée. C'est donc à une véritable résistance à cette invasion que nous appelons aujourd'hui !
Nous, vélorutionnaires, avons décidé de faire barrage à l'idéologie automobile, à sa brutalité et à son absurdité, et de défendre une autre conception de la ville et des relations sociales.
Nous lutterons contre la propagande pro-bagnole qui colonise nos espaces mentaux.
Nous, voulons nous mobiliser pour rendre au vélo, à la marche à pied, la place et le respect qu'ils méritent. Pouvoir prendre des transports en communs qui ne sont pas coincés dans les embouteillages automobiles.
La libération temporaire de certains quais de Seine, cet été, a montré la voie de la reconquête. Il faut continuer dans ce sens et rendre Paris à toutes celles et ceux qui y vivent et y travaillent, pas seulement les automobilistes.
Nous exigeons donc la mise en place d'un plan à moyen terme de libération totale des quais de Seine, de liaisons longues paris-banlieue, de contre-sens cyclables, la création d'axes vélos-piétons (Réseau vert réservé aux piétons et cyclistes) (voir encadré). Nous appelons toutes celles et tous ceux qui refuse l'aliénation motorisée à nous rejoindre le premier samedi de chaque mois à 14h place du Châtelet à Paris.
A l'appel de La Vélorution, Réseau action climat, Chiche Paname, Antibagnole.com, Les Amis de la terre Paris, Vélo XV et VII
Samedi 4 septembre 14h Place du Châtelet
Pour libérer Paris de l'invasion automobile !
Action anti-bagnole puis cortège vélo roller
Nos doléances
Nous, sans-moteurs, habitants et habitantes des villes, usagers de transports propres et peu consommateurs d'énergie, hommes et femmes soucieux de notre qualité de vie et de celle des générations futures avons décidé de faire entendre nos doléances :
- Taxation des véhicules à moteur en fonction de leurs émissions polluantes,
- Interdiction de la publicité en faveur des véhicules à moteur,
- Encouragement et éducation à l'utilisation des transports propres,
- Gratuité des transports en commun lors des pics de pollution.
- Extension et renforcement du réseau de pistes et d'aménagements cyclables et piétonniers,
- Adaptation du code de la route aux spécificités des déplacements sans moteur,
- Autorisation permanente et gratuite de transporter les vélos dans tous les trains,
- Amélioration de l'accessibilité des trains,
- Fin de la tolérance envers les véhicules à moteur ne respectant pas les équipements protégeant les circulations douces
Qu'est-ce que la Vélorution ?
Il y a dix ans, des jeunes étaient organisées tous les premiers samedis du mois à Bastille des manifestations à vélo. Quatre ans de manifestations - jusqu'à 6 000 cyclistes - qui incitèrent Jean Tiberi à développer les pistes cyclables et favorisèrent la prise de conscience par les Parisien-ne-s des nuisances du tout-voiture en ville. Dix ans plus tard, les manifestations ont été relancées en septembre dernier pour exprimer la déception face à la timidité de la nouvelle municipalité en la matière et la colère devant le double discours de l'Etat. Et plus radicalement, le refus de l'automobile, symbole d'une société de fuite dans le stress, la consommation, la production, le profit, qui saccagent nos vies, nos villes et notre planète. La vélorution n'est pas une association de plus mais une dynamique, un mouvement social, un événement. Ce réseau informel est en lien avec les associations pour d'autres transports à Paris : Réseau Vert, MDB, Le RATP, le Réseau Action Climat, Amis de la Terre Paris, Greenpeace Paris...
contact@velorution.info / www.velorution.info/ Contact presse Anthony 06 63 52 81 03 / Stéphane 06 79 71 79 34
Vélo XV et VII - Vélorution - Mieux se déplacer à Bicyclette (MDB)
Paris plage est fini, continuer dans ce sens !
10 juillet 1994, 30 octobre 1994 : premières ouvertures aux cyclistes et piétons des voies sur berges le dimanche
aoüt 1995 : ouverture régulière tous les dimanches sauf en hiver
juillet-août 2001 : ouverture tous les jours pendant un mois
juillet-août 2002 : "Paris-Plage"
novembre 2003 : extension aux dimanches d'hiver...
JUILLET 2004 : POUR LE 10e ANNIVERSAIRE DE LA PREMIERE PHASE DE
LA RECONQUETE DES VOIES SUR BERGES, IL FAUT ALLER PLUS LOIN.
Les nombreux parisiens, franciliens et touristes qui, le dimanche toute l'année ou l'été pendant Paris-Plage, fréquentent les berges de la Seine, se demandent toujours comment on peut laisser des automobiles rouler à cet endroit si exceptionnel, reconnu par l'UNESCO comme faisant partie du patrimoine mondial de l'Humanité. La promenade qui devrait joindre entre eux une grande partie des principaux monuments et musées de Paris est à certains endroits une véritable autoroute, et les piétons qui devraient en être les rois ne peuvent accéder à la berge basse. Les bretelles d'entrée et de sortie de la voie sur berges rendent également inconfortable le cheminement sur les berges hautes.
L'idée qu'il faudra bien un jour rendre les berges à des utilisateurs plus naturels que des automobilistes pressés fait son chemin. Il est temps d'en étudier et d'en tester la faisabilité.
Sur la rive droite, la voie Georges Pompidou (où a lieu Paris-Plage), d'où l'on a une vue superbe sur certains des plus magnifiques monuments de Paris, serait la plus intéressante mais aussi la plus difficile à ôter du système de circulation de Paris. Il est donc temps de lancer des études approfondies pour envisager les détournements de trafic permettant de fermer cette voie aux automobiles.
Sur la rive gauche, la voie sur berge n'est pas indispensable à la circulation, car elle ne sert que de doublure à un quai large. Il n'y a qu'entre le pont Royal et le pont de la Concorde que le quai haut qu'elle double est relativement étroit
VELO XVETVII, VELORUTION et le MDB PROPOSENT A LA VILLE DE PARIS D'EXPERIMENTER EN VRAIE GRANDEUR, LA FERMETURE AUX VOITURES DE LA VOIE SUR BERGES ENTRE LE PONT DES INVALIDES ET LE QUAI BRANLY, ET UNE UTILISATION PARTAGEE (UNE FILE POUR LES VOITURES COTE RER, LE RESTE COTE SEINE POUR PIETONS ET CYCLISTES) ENTRE LE PONT ROYAL ET LE PONT DES INVALIDES.
Cette mesure permettrait aussi de fermer à la circulation une bretelle d'entrée et deux bretelles de sortie de la voie sur berges, rendant plus facile le cheminement des piétons sur la magnifique promenade située sur la voûte de la ligne C du RER et la circulation des cyclistes sur la berge haute.
LA MISE EN PLACE D'UNE NOUVELLE ORGANISATION DE LA CIRCULATION SUR LES QUAIS POURRAIT SE FAIRE AU PLUS TARD EN MEME TEMPS QUE L'INAUGURATION, PREVUE POUR 2006, DU MUSEE DU QUAI BRANLY.
... 2006
Jacques Chirac et Bertrand Delanoë inaugurent le musée du quai Branly et le nouvel aménagement des quais de la rive gauche de la Seine.
Contact : Abel Guggenheim président de Vélo XVetVII
01 40 60 76 74 / 06 82 43 06 73
IMac G5 News and Prospectives !!!

Chaque nouveau MAC révolutionne l'informatique.

Depuis 1984 avec l'invention du système "appelé ailleurs Window" et de sa "Souris",

Apple innove a chaque nouvelle cuvée !!!
Avant hier avec l'IMac, la couleur et le design ont "découvert" l'informatique.


Enfin de BEAUX OBJETS MONTRABLES
Hier avec l'IMac G4, l'ordinateur a disparu pour se situer dans le socle de l'écran.

SON ECRAN MOBILE jusqu'à 20 pouces nous a fait rêver !!!
Aujourd'hui avec l'IMac G5, L'ordinateur a quitté le socle de l'écran. L'ordinateur est l'écran et le WIFI + Bluetooth retire les cables inutiles sauf l'alimentation.

FABULEUX OBJET !!!
DEMAIN sans doute l'ordinateur quittera l'écran pour se loger DANS LE CLAVIER (WIFI + BLUETOOTH) Nous pourrons avoir plusieurs écrans plats de 17, 20, 23, 30 pouces dans la maison.

Ils seront fixés au mur tel des tableaux précieux.


Ils serviront aussi de moniteur de contrôle pour la cuisine, la chambre du bébé grâce à des camera ISight. Ils serviront de Télévision a écran plat ou d'écran pour les clips vidéo pour notre chaîne HIFI avec nos IPods et notre ITunes avec Airport Express WIFI.


Nous déplacerons notre clavier sans fil (Bluetooth) d'une pièce à l'autre. Quand celui-ci détectera un écran grâce à sa carte AIRPORT EXTREME les données seront immédiatement affichée.
SCIENCE-FICTION ?
NON ! A l'exception de l'IMAC dans le clavier... Tout existe déjà !!!
Alors, gageons que l'équipe APPLE et son Designer Jonathan Ives travaillent à quelque chose de ce genre pour le printemps 2006 !
Merci à APPLE d'inventer notre vie numérique.
Un MACophile depuis 1984 !
Source des images Apple Google
Jim
Wednesday, September 01, 2004
Apple a encore frappé !
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